Nouvelle interview, en binôme avec Julien Beaunay, pour Les Ecrans Terribles, avec le réalisateur belge culte Harry Kümel (Malpertuis), rencontré au Centre Wallonie-Bruxelles juste avant le confinement. A l'occasion de la re-re-sortie de son film Les Lèvres Rouges sur les écrans français, interview à lire ici : http://www.lesecransterribles.com/harry-kumel-les-levres-rouges/51992
Butch McKoy (I Love UFO, White Heat, UFO Drones, etc.) continue d'enthousiasmer son audience, avec un rock folk habité, teinté de romantisme noir et sous l'influence poétique de William Blake. Son nouvel album s'intitule The Sick Rose, bénéficie de l'apport de Lionel Naudon (Lab°) et est disponible sur toute bonne plateforme. Pour l'occasion, une interview du monsieur est sortie sur Exit Musik, dont les propos avaient été recueillis avec l'aide de Ludovic Ducroo.
John Prine luttait depuis des années, voire décennies contre des problèmes de santé, malgré cela il continuait à composer et se produire en live, il avait donné un concert magique au Café de la Danse tout récemment, le 13 février dernier. Ce foutu virus aura eu raison de cet immense singer/songwriter américain. Je souhaitais lui rendre hommage et célébrer sa mémoire par le biais d'une playlist de classiques, versions live et nouveaux morceaux, à écouter surExit Musik: http://exitmusik.fr/playlist-hommage-a-john-prine/ Laissons le dernier mot à Théo Hakola qui avait signé une reprise du fameux hit Sam Stone, il y a quelques années, sur l'album I Fry Mine In Butter! :
Et à Bill Sienkiewicz qui a dessiné l'un des plus beaux hommages au monsieur dernièrement :
Olivier Smolders était de passage à Paris en début d'année pour une rétrospective/exposition au Centre Wallonie Bruxelles et la remise d'un prix au Festival de Clermont. A cette occasion, nous avons pu approfondir une première interviewparue il y a déjà quelques années et lui poser de nouvelles questions*dans le cadre de Format Court:
A l'occasion de la disparition d'Andrew Weatherall, par le biais d'une playlist pour Exit Musik, qui traverse ses multiples entités et "peaux" musicales, j'ai voulu voulu rendre hommage à celui qui représentait le plus une musique anglaise ouverte à toutes les envies, porosités et mutations ; une philosophie de vie qui inspirera longtemps encore les amoureux.ses de musique sans oeillères : http://exitmusik.fr/playlist-hommage-a-andrew-weatherall/
Il y a quelques années (en 2014), Andrew avait été programmé à la Villette Sonique (au Cabaret Sauvage), pour une nuit estampillée RBMA Night, en tandem avec Daniel Avery, durant un set de folie de plusieurs heures pendant lesquelles les deux artistes se succédaient aux platines.